Alors que Bruxelles rêve d’une nouvelle « kei car » inspirée des micro-voitures japonaises, les constructeurs européens de quadricycles électriques L7e suggèrent que leurs véhicules répondraient déjà à cette volonté, sans nécessiter de créer une catégorie inédite. Problème : ces « kei cars européennes », ou « E- car » sont souvent chères, peu polyvalentes et limitées en sécurité. Une bataille s’annonce entre les géants de l’auto, qui veulent alléger les normes, et les spécialistes de la « voiturette », qui refusent d’être évincés d’un marché qu’ils ont largement développé.
