Nissan est en grande difficulté. Entre les ventes en berne, les changements de tarifs douaniers aux États-Unis et des choix stratégiques peu judicieux sur l’électrique, le déficit de la marque n’en finit plus de se creuser. Pour se remettre à flot, le constructeur multiplie les actions : vente de sites historiques, réduction des effectifs… Il pourrait même pactiser avec deux de ses concurrents de toujours, Stellantis et Ford, pour récupérer de l’argent frais.
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