Même les milliardaires comptent leurs sous. Le patron de Lamborghini, Stephan Winkelmann, admet que les incertitudes tarifaires entre États-Unis et Europe poussent certains clients à repousser l’achat de ses supercars facturées quelques centaines de milliers d’euros. Larmes de crocodile ou vrai signal pour l’industrie du luxe ?
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