Mais qui a tué les petites voitures à bas prix ? La réponse à cette question, inspirée d’un célèbre film, n’est pas forcément simple. La quasi-disparition des citadines du segment A est aussi bien liée à l’avidité des constructeurs en quête de marges qu’à la multiplication de normes de sécurité ou de pollution toujours plus contraignantes. L’Union Européenne a donc une responsabilité au moins partielle dans l’affaire. Mais elle affirme désormais vouloir se racheter afin d’aider une industrie automobile en difficulté et des consommateurs qui boudent des voitures neuves devenues trop chères pour eux.
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