Après la découverte d’un accès à distance sur des bus électriques chinois en Norvège et au Danemark, le Royaume-Uni enquête à son tour sur plusieurs centaines de véhicules Yutong. Ses systèmes connectés, conçus pour les mises à jour logicielles, pourraient théoriquement être désactivés à distance. Une alerte qui dépasse le seul transport public : les voitures chinoises, elles aussi entièrement connectées, posent les mêmes questions de cybersécurité et de souveraineté numérique.
