En choisissant de désactiver les radars automatiques, l’Ontario n’a pas simplement ravivé un débat ancien : elle a véritablement relancé la controverse. Entre accusations de « recherche de profits », préoccupations budgétaires et investissements conséquents dans les aménagements urbains, la province s’efforce désormais de démontrer qu’il est possible de réduire les excès de vitesse sans recourir systématiquement aux dispositifs de contrôle automatisés.
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